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  • : Le blog de syndicat-sud-mairie-dunkerque
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Tous les jours, du lundi au vendredi

7 rue Faulconnier (face à la mairie centrale)

tél: 03 28 26 28 97

mail: sudmairie@aol.com

ou en cliquant sur"contact" dans la rubrique "présentation".

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Les réunions d'info syndicale

La réunion d'information syndicale, c'est un droit ! Usez-en !

C'est un droit pour TOUS les agents ! Syndiqués ou non !

 

Les News

Agenda

CTP :19 Février 2015

 

 

14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 19:59
Logement : fin de la trêve hivernale sur fond de crise,
Mobilisons-nous
Pour l’arrêt des expulsions, contre le logement cher
Pour la production massive de logements sociaux !

Le 15 mars, qui marque la fin de la trêve hivernale et le retour des expulsions risque cette année, sur fond de crise, d’être encore plus dramatique pour un nombre croissant de familles et de personnes.

De nombreux locataires rencontrent des difficultés pour payer leur loyer, leurs charges car ils n’ont jamais été aussi élevés. Demain l’huissier peut frapper à n’importe quelle porte. Plus de la moitié des Français craint de perdre un jour leur logement

La flambée des loyers et de l’immobilier, conjuguée à la baisse des revenus ont rendu difficile, voire impossible, l’accès à un logement durable pour les demandeurs de logement, les jeunes, les migrants, les salariés modestes.

Le pouvoir d’achat des ménages est réduit par le coût du logement.L’offre de logements à loyer compatible est très nettement insuffisante.

Les formes d’habitat précaire se développent, les marchands de sommeil font fortune et la crise du logement s’étend.

Du fait du désengagement financier de l’Etat, la production de logements sociaux reste à un niveau très faible, sans compter les démolitions et ventes imposées par le gouvernement.

Par contre, il dépense 10 fois plus pour aider les riches contribuables à acquérir des logements et à les louer au prix fort. La marchandisation des logements sociaux est en cours. Les statuts locatifs sont attaqués et rognés sans cesse, avec la multiplication des statuts précaires. Celui des locataires HLM est désormais menacé.

La loi LOPPSI2 permet au Préfet d’expulser en 48h les occupant-e-s d’habitat « hors norme » (yourtes, cabanes, tentes, bidonvilles, caravanes, maisons sans permis, mobil home…), sans l’avis du juge, et de détruire leurs habitations. Environ 200 000 personnes sont concernées. Même les ménages reconnus prioritaires par loi DALO (Droit Au Logement Opposable) sont mis à la rue, alors que les Préfets doivent les loger.

L’Union Syndicale Solidaires s’associe à toutes les initiatives unitaires organisées le samedi 12 mars, et notamment à Paris à la manifestation qui partira à 14h30 de la place de la République, pour exiger :
* L’arrêt immédiat des expulsions locatives,
* Le droit à un logement stable, et non la précarisation des locataires,
* La baisse des loyers, des charges et la taxation de la spéculation immobilière, pour rendre le logement accessible à tous,
* La réalisation massive de vrais logements sociaux, et en attendant, l’application de la loi de réquisition.
* Le respect de la loi Dalo
* L’abrogation de la loi Loppsi 2


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12 mars 2011 6 12 /03 /mars /2011 19:56

Des nouvelles de votre site internet www.syndicat-sud-solidaires-mairie-dunkerque.fr : En 3 semaines : 1207 pages vues et 276 visites du site. Merci pour l'intérêt que vous portez à Sud Solidaires.

Bonne soirée et bon week-end à tous !

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10 mars 2011 4 10 /03 /mars /2011 21:01
  • Espagne : manifestationale à Madrid, le 12 mars.
  • Grande Bretagne : manifestation nationale à Londres, le 26 mars.
  • Italie : les syndicats de base appellent à des grèves générales.
  • Rencontres internationales de Solidaires.
  • Algérie : solidarité avec nos camarades en lutte pour la liberté.
  • Philippines : la société Dole doit respecter le droit du travail.
  • Maroc : les ouvriers de SMESI réintégrés, grâce à leur lutte.
  • Lybie : le Forum Social Maghrébin condamne le dictateur.
  • Mexique : solidarité avec les syndicats indépendants
  • Maroc : le "mouvement du 20 février" se poursuit
  • Pakistan : non au licenciement du militant syndical Imran Ali
  • Offensive des patrons de l'Automobile dans toute l'Europe
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8 mars 2011 2 08 /03 /mars /2011 22:18
PRECARITE DANS LA FONCTION PUBLIQUE
Quelques reculs du gouvernement…
mais attention aux brèches ouvertes !

Hier, les représentants du Gouvernement, au prétexte de « faire cesser pour l’avenir des pratiques qui aboutissent à multiplier les contrats pour pourvoir des besoins permanents » proposaient, malgré l’opposition unanime des organisations syndicales, d’acter dans le protocole d’accord « deux mesures » en totale contradiction avec l’objectif affiché de « résorption de la précarité » dans la Fonction Publique. Dans le même temps, ils refusaient de supprimer le Contrat d’Activité (fondé sur une mission et non pas une durée) mis en expérimentation à l’Institut Nationale de Recherches Archéologiques Préventives.

Aujourd’hui, lors de la séance conclusive, après avoir écouté et entendu la lecture d’une déclaration liminaire intersyndicale (à huit), puis celles de chacune des organisations, le Ministre de la Fonction Publique F. Baroin et son Secrétaire d’Etat G. Tron ont rendu leur verdict.

• La nouvelle attaque qu’ils entendaient porter au Statut des fonctionnaires en élargissant les conditions légales de recours au contrat, existant déjà pour les agents de niveau de catégorie A, fondées sur la notion de « nature de fonction », est retirée du protocole et la mesure d’élargissement ne sera donc pas étendue aux agents de catégorie B et C.

Mais, si ce projet est totalement abandonné pour les agents C, il n’en demeure pas moins qu’une étude complémentaire sera effectuée pour analyser la sur représentation des agents contractuels B par rapport aux titulaires.

• La seconde mesure qui visait, en quelque sorte, à légaliser la procédure scandaleuse déjà en expérimentation à l’Institut National de Recherches Archéologiques Préventives (INRAP), sous la forme de la création d’un « contrat de projet » sera également retirée du protocole d’accord.

Mais, pour autant, si ce contrat de projet disparaît du protocole, une réflexion devra être menée dans certains secteurs où les règles normales d’embauche ne « suffisent pas » : Enseignement Supérieur, Recherche, formation professionnelle, projet informatique et fouilles archéologiques.

• Quant au Contrat d’Activité, mis en place à l’INRAP depuis le début 2010, il vit ses derniers jours, puisque l’INRAP sera invitée à ne plus conclure de contrat de ce type.

Par ailleurs, pour répondre à la demande de certaines Organisations Syndicales, dont Solidaires, qui réclamaient le versement d’une indemnité de fin de contrat, il sera indiqué dans le protocole d’accord qu’une mission sera diligentée pour voir comment cette indemnité pourrait être mise en place et différencier les différentes conditions de contractualisation.

Solidaires considère que des avancées non négligeables pour les agents contractuels sont à enregistrer dans ce difficile dossier et note que le gouvernement a retiré (sous la pression des organisations syndicales) le contrat de projet et l’extension des conditions légales au contrat pour les B et C, mais rien n’est pour autant résolu définitivement.

Il faut d’abord attendre la rédaction définitive du protocole d’accord, qui devrait nous être transmise au plus tard mercredi, pour s’assurer que les promesses de ce jour sont bien réelles.

Et même si les écrits sont conformes aux paroles, des inquiétudes subsisteront toujours. En effet, comment être certain que l’étude complémentaire concernant l’extension du recours au contrat pour les emplois de catégorie B et la réflexion menée pour certains secteurs, ne reviennent pas, subrepticement, dans le paysage de la contractualisation.

Dans un contexte de suppressions massives d’emplois de fonctionnaires et d’attaques permanentes contre le statut, la Fonction Publique et les services publics en général, notre organisation sera très vigilante sur le protocole d’accord définitif et les projets de lois qui suivront.

Solidaires continuera à lutter aux cotés des personnels pour en finir définitivement avec la précarité scandaleuse dans la Fonction Publique.

Cela passe aussi, encore et toujours, par la poursuite de nos batailles contre les suppressions d’emplois, par les créations d’emplois nécessaires et par la lutte pour le pouvoir d’achat.



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6 mars 2011 7 06 /03 /mars /2011 23:22

Augmenter les salaires ?
Pas possible, c’est la crise...

Améliorer notre protection sociale ?

Pas possible, il n’y a plus de sous…

Créer des emplois pour tous ?
Pas possible, on manque d’argent

Bénéfices des seules entreprises françaises du CAC 40
82,5 milliards en 2010
+ 85% par rapport à 2009
La moitié de ces profits - 40 milliards - a été distribuée aux actionnaires
Les actionnaires et leurs dividendes se portent bien !
et le gouvernement va supprimer l’impôt sur la fortune…

Arrêtons d’enrichir les riches !
Imposons une autre répartition des richesses que nous produisons

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5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 21:36

"LES 6 DE SAVOIE" relaxés ! (samedi 5 mars 2011)

 

Délibéré du Tribunal Correctionnel de CHAMBERY ce matin :
 
On a gagné ! ! ! "LES 6 DE SAVOIE" relaxés !
Ils avaient été "désignés" parmi la soixantaine de présent-e-s
grâce aux photos de la Police sur les voies SNCF à Chambéry.
La SNCF avait porté plainte et réclamait 46000 € de dommages
et intérêts et le Procureur 1500 € à chacun dont la moitié avec
sursis !
 
Aucune amende à payer ! ! !  
 
Possible APPEL du Parquet ou de la SNCFdans les 10 jours !
 
Suite à communication de Maitre CATALDI à 9 heures
(un des 3Avocats des "6 de Savoie")
 
Le CCUIC se félicite de ce jugement contre la "criminalise le mouvement
social et syndical"
 
      Gérard ETELLIN, adhérent FSC et Sud Solidaires Savoie
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4 mars 2011 5 04 /03 /mars /2011 19:42

 

 

8 mars

Ce 8 mars 2011, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, n’est pas un 8 mars comme les autres. C’est un 8 mars porteur d’espoir venu du Sud. Un Sud en marche revendiquant LA DIGNITE, LA LIBERTE et L’EGALITE.

Avec son "Dégage Ben Ali !" : la Tunisie a ouvert la voie en renversant, mi-janvier, le dictateur et le régime dont elle ne voulait plus. L’Égypte a suivi avec un slogan identique à l’encontre du président Hosni Moubarak.

« Dégage », un mot qui résonne aujourd’hui comme une note d’espoir rendant l’impossible possible et défiant la démoralisation et le scepticisme ambiants en France et en Europe.

Deux dictatures mises à terre en moins d’un mois, ceci ne peut qu’avoir des répercussions dans l’ensemble de la région et au-delà.

Dans les deux pays, les femmes étaient présentes dès les premiers jours et ont, nombreuses et résolues, participé à ce bouleversement. Partout ailleurs de par le monde, les femmes continuent à se mobiliser, à se battre contre des régimes autoritaires et tortionnaires, contre des sociétés machistes, hétéro-sexistes et rétrogrades. _
Elles se battent pour leur autonomie et pour qu’il soit mis fin aux discriminations dont elles sont l’objet. Ce combat est le nôtre. Les Tunisiennes revendiquent la consécration de l’égalité des droits dans la constitution, l’instauration de la laïcité, la levée des réserves émises lors de la ratification de la CEDAWi, et la réforme du droit de la famille inégalitaire (notamment en matière d’héritage).

Les Egyptiennes veulent l’abrogation du code du statut personnel, la mise en place d’un Etat laïque et leur participation à la commission pour la réforme de la constitution.

Les Algériennes veulent l’égalité des droits et sont partie prenante des aspirations et des revendications pour un Etat de droit : levée de l’état d’urgence, rétablissement des libertés individuelles et collectives, travail et justice sociale. Elles demandent l’abrogation du code de la famille et veulent des lois civiles égalitaires.

Les Iraniennes veulent l’abrogation du code de la famille et de toutes les lois discriminatoires à l’encontre des femmes, l’égalité des droits dans la constitution, la ratification de la CEDAW et un Etat laïque.

Les Afghanes appellent au respect et au maintien de la constitution de l’Afghanistan (malgré ses lacunes) qui garantit et favorise la place des femmes, aujourd’hui premières victimes de la corruption et de la pauvreté. Elles refusent toute négociation avec les Talibans, frein à la démocratisation et à la stabilité du pays.

En France, les rapports de domination hommes/femmes sont toujours à l’oeuvre. Force est de constater les inégalités dont les femmes sont l’objet. Elles continuent à se battre :
- Pour l’égalité des salaires, la mixité de l’emploi et la régularisation de toutes les travailleuses sans papiers, contre le travail à temps partiel imposé et la précarisation : 80% des salariés qui vivent avec 750€ par mois sont des femmes.
- Pour le droit à l’avortement et la contraception menacé par la casse de l’hôpital public et la remise en question de la sécurité sociale.
- Pour le maintien et le développement du service public : santé, petite enfance, éducation, justice… et contre les réformes des collectivités territoriales.
- Pour l’application de la loi du 9 juillet 2010 contre les violences faites aux femmes, le comité de suivi et de vigilance exige des moyens.
- Pour le respect du droit d’asile pour les femmes persécutées, non seulement en raison de leurs opinions politiques ou dans le cadre de persécutions racistes et religieuses, mais aussi de leur orientation sexuelle.
- Pour une véritable lutte contre la lesbophobie, le sexisme, le racisme et toutes les formes de discrimination dont sont victimes les femmes, pour une véritable politique d’éducation à l’égalité.

Nos luttes sont communes et nos aspirations se rejoignent : qu’on vive à Tunis, Kaboul, Rome ou Varsovie, Kinshasa ou Paris, les combats pour l’EGALITE, la LIBERTE et la DIGNITE nous réunissaient hier et nous rassemblent aujourd’hui.

Partout dans le monde des femmes font entendre leur voix pour revendiquer la dignité, l’égalité et la liberté. Toutes et tous ensemble pour un monde égalitaire, laïque et contre la mondialisation néolibérale.

Manifestation
le 5 Mars à 14h30 Trocadéro
(Parvis des droits de l’homme)

 



Premiers signataires : Alternative Libertaire, ANCIC, ANEF, Apel-Egalité, Association Nationale pour la Promotion de la Laïcité en Algérie (ANPLA), Association des Tunisiens en France, Association Traversée, Atalante Vidéos féministes, ATTAC, Beit-Haverim, CADAC, Campagne 1 million de signatures pour l’égalité femmes/hommes en Iran, Centre LGBT Paris-IdF, CLEF, CNDF, Collectif de pratiques et de réflexions féministes « RUPTURES », Collectif féminin-masculin de Vitry sur Seine, Collectif 20e Tenon, Contact Paris- Ile-de-France, Coordination Lesbienne en Fance, CQFD-Fierté Lesbienne, Encore Féministes, Europe Ecologie-Les Verts, Féminisme Enjeux-Théâtre de l’opprimé, « Femmes Libres » Radio Libertaire, FNSF, Fondation Copernic, Français du Monde-ADFE, FSU, Groupe de femmes tunisiennes, GU, IFE-France, Initiative des femmes Kurdes en France, Gauche Unitaire, Intersyndicale SDFE, LFID, LMDE, Les Chiennes de garde, Maison des femmes de Montreuil, Manifeste des Libertés, Marche Mondiale des Femmes-France, NPA, Organisation Femmes Egalité, Osez le féminisme ! PCF, PG, Planning Familial, Pluri-Elles Algérie, PS, RAJFIRE, Réseau féministe « RUPTURES », SOS Sexisme, UNEF, UNL, Union syndicale Solidaires,…..

* CEDAW : convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes


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2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 12:06

Monsieur François BAROIN
Ministre du Budget, des Comptes Publics, de la Fonction Publique et de la Réforme de l’Etat

Monsieur Georges TRON
Secrétaire d’Etat chargé de la Fonction Publique

Messieurs les Ministres

La négociation proposée aux organisations syndicales de la Fonction publique vise, selon les termes mêmes que vous avez employés lors de la réunion du 17 janvier 2011, « à en terminer avec la précarité dans la Fonction Publique ». Solidaires ne peut que se réjouir de telles déclarations.

Cependant, un certain nombre de réalités enlèvent beaucoup de crédibilité à cette déclaration d’intention.

En effet, dans le même temps où vous annoncez l’ouverture, sur trois ans, d’un dispositif de titularisation pour les contractuels, vous prévoyez toujours de supprimer un emploi de fonctionnaire sur deux partant à la retraite dans la Fonction Publique de l’Etat.

Ce sont donc, près de 100 000 emplois de titulaires que vous vous apprêtez à supprimer d’ici 2013 dans la Fonction Publique versant Etat, soit autant de possibilités de titularisation qui pourraient être offertes aux contractuels et qui ne le seront pas. C’est comme si le ministre en charge du logement annonçait un plan de relogement des mal-logés et que, dans le même temps, il faisait démolir la moitié des logements en parfait état qui pourraient servir à les accueillir.
Mais le versant de l’Etat n’est pas le seul « mal loti » puisque la situation de l’emploi se dégrade également dans les deux autres versants de la Fonction Publique.

- Vous affirmez, comme une évidence, que tous les plans de titularisation réalisés par le passé « n’ont pas marché ». Cependant, jamais vous ne communiquez d’analyse détaillée permettant d’étayer cette affirmation. Or, cette analyse nous permettrait, à n’en pas douter, de ne pas recommencer les mêmes errements et de prendre les bonnes décisions qui s’imposent pour enfin résorber la précarité. Solidaires vous demande donc de bien vouloir lui fournir toutes les données passées et le contenu des différents plans.

- Nous vous demandons, également, une analyse de l’évolution de la situation à l’INRAP (Institut National de Recherches Archéologiques Préventives), suite à l’application du décret « relatif à la résorption de l’emploi précaire » du 19 avril 2007 et à l’instauration du CDA (« contrat d’activité ») qui a subrepticement été introduit dans la loi du 17 février 2009 « pour l’accélération des programmes de construction et d’investissements publics et privés ».

A l’heure où vous proposez, pour l’ensemble de la Fonction Publique, à la fois un dispositif de résorption de la précarité et dans le même temps l’instauration d’un « contrat de projet » similaire au CDA, ce bilan nous est indispensable.

- Une partie des mesures que vous annoncez existent déjà dans les textes et ne sont pas appliquées. Que ferez-vous pour garantir une meilleure application des textes à l’avenir ?

- Les dispositifs annoncés pour résorber la précarité, tant par le biais du CDI que par celui de la titularisation, n’ont aucun caractère contraignant pour les employeurs, et vous ne chiffrez, par ailleurs, ni les moyens que vous entendez y consacrer, ni les objectifs à atteindre en terme de résultats. De fait, le projet tel qu’il est présenté aujourd’hui, pourrait n’être qu’une coquille vide en terme de réduction de la précarité. Il pourrait même contenir une aggravation de la précarité avec une extension des possibilités de recours aux contractuels, comme vous le proposez, notamment, avec le « contrat de projet » et en étendant la possibilité du CDI à temps complet aux agents B et C.

- Les causes structurelles de développement accéléré de l’emploi précaire dans la Fonction Publique, ces dernières années, ne sont pas analysées et seuls les « abus » des employeurs sont dénoncés. Or, les politiques menées par le gouvernement ont une responsabilité énorme dans le développement structurel de la précarité de l’emploi.

Il en est ainsi, évidemment en premier lieu, de la politique de suppressions d’emplois de titulaires menée depuis plusieurs années (plus de 120 000 emplois de titulaires supprimés dans la FPE depuis 2003). S’y ajoute le choix délibéré, dans certains secteurs, de financer la croissance des activités, non pas par le biais des dotations budgétaires mais par celui d’agences de moyens allouant des financements « sur projets » de courte durée via des appels d’offres, ne permettant de recruter que des personnels en CDD.

Pour Solidaires, compte tenu de ces lourdes réalités et afin que le plan gouvernemental de résorption de la précarité que vous proposez soit crédible aux yeux des agents et des employeurs, il devrait comporter un certain nombre d’engagements minimaux à effet immédiat :
- un moratoire sur toutes les suppressions d’emplois durant les 3 ans du plan de résorption de la précarité ;
- une mise en oeuvre effective des mesures de « déprécarisation » permises dès à présent par les textes : titularisation directe des agents de catégorie C, transformation en CDI des CDD à temps incomplet (nombreux au Ministère de la Culture par exemple) et des éventuels CDD renouvelés au-delà de 6 ans ;
- un recensement, sur le terrain, des non-titulaires assurant des besoins permanents, quel que soit le type de contrat et le budget ou l’employeur qui sert à les payer ;
- une clause d’obligation de renouveler le CDD des agents assurant des besoins permanents jusqu’à ce qu’ils remplissent les conditions du plan pour accéder à la titularisation ou, à défaut de pouvoir bénéficier directement de la titularisation, à un emploi en CDI ;
- l’arrêt du recrutement de nouveaux contractuels pour assurer des besoins permanents.

Le dossier destiné à la négociation, est scindé en cinq volets. Les deux premiers d’entre eux ont déjà fait l’objet de discussions.

Le 1er février, vous avez transmis aux organisations syndicales une synthèse des propositions, s’y rapportant. Le 3 février, en séance, d’autres propositions ont été émises et vous avez clairement exprimé le souhait que les organisations syndicales s’expriment sur celles-ci.

Concernant le volet 1 destiné à : « apporter une réponse immédiate aux situations de précarité rencontrées sur le terrain » et donc à :

1 – Mettre en place pendant une période déterminée des dispositifs spécifiques d’accès à l’emploi titulaire pour favoriser l’accès des agents contractuels aux corps et cadres d’emplois des trois versants de la fonction publique.

2 – Transformer immédiatement en CDI les CDD des agents non titulaires présents sur emplois permanents depuis au moins six ans.

1 - Pour pouvoir privilégier la titularisation, Solidaires réaffirme que :

- conformément au principe selon lequel un emploi permanent doit être occupé par un fonctionnaire titulaire, c’est l’accès à un emploi de titulaire qui doit, dans cette négociation, être l’objectif affiché pour tous les contractuels assurant des besoins permanents ;

- puisque la notion de « besoin permanent » est au bien au coeur du dispositif de déprécarisation, pour les CDD qui durent plus d’une année, ou 18 mois sur 24 (correction faite des contrats de 10 mois sur 12), le besoin permanent est avéré. Ainsi, si le besoin constaté est permanent, il entraîne l’éligibilité à la titularisation, quel que soit la nature du contrat ou de son financement. Solidaires ne peut donc être d’accord avec votre analyse qui consiste à proposer six années d’exercice, sur un emploi permanent, pour bénéficier du futur dispositif.

Dans cette optique le CDI ne saurait être qu’une solution « par défaut » et seulement dans les cas où les conditions ne seraient pas remplies pour une titularisation immédiate (critère de nationalité non rempli, absence de corps d’accueil,…) ou que les agents, à titre individuel, ne souhaiteraient pas être titularisés. Ainsi, chaque fois que cela est possible, et notamment quand il existe les corps d’accueil de titulaires, la titularisation directe doit être privilégiée. Quand ces corps d’accueil n’existent pas, il faut envisager soit leur création, soit d’élargir les missions de corps existants.

Solidaires demande, en particulier, la création d’un cadre d’emploi pour les assistants familiaux et pour les accueillants familiaux dans la FPT, et d’une manière générale tous les corps nécessaires, pour les trois versants de la FP, lorsqu’ils font défaut. Votre volonté politique de résorber la précarité dans la Fonction publique doit nécessairement favoriser le recrutement sur des emplois statutaires ;

- les CDI à temps incomplet ou non complet doivent clairement être concernés par les dispositifs de titularisation (comme indiqué dans les orientations, dans le constat du volet 1, mais infirmé dans le 1°, puis inclus dans les « points à approfondir ») ;

- pour ne pas continuer à accroître la précarité, il faut supprimer les « usines à précaires » (agences de moyens telles que l’Agence Nationale de la Recherche par exemple) et réorienter leurs crédits vers des budgets pouvant permettre de recruter des titulaires. Il faut en terminer avec le financement des hôpitaux par la Tarification à l’activité qui pousse les directions à utiliser un volant de précaires servant de variable d’ajustement en cas de baisse de moyens.

Solidaires s’oppose à toute disposition tendant par ailleurs à étendre ou à pérenniser la précarité (élargissement des cas de recours aux CDD et CDI, instauration du « contrat de projet »)… Dans ce but, Solidaires propose la création d’emplois de titulaires remplaçants, la création de centres de gestion et l’émergence d’une GPEEC digne de ce nom.

Pour de nombreux métiers, tant dans le versant de la Territoriale que dans celui de l’Etat, l’emploi précaire s’est énormément développé alors que les corps de titulaires adaptés existent. Que peut-on attendre d’une nouvelle loi, s’il n’y a pas la volonté politique et/ ou les moyens de faire appliquer les textes existants ?

Solidaires revendique donc, un plan de titularisation pour tous les personnels assurant un besoin permanent dans la Fonction Publique avec les créations d’emplois et les créations de corps nécessaires. La justice sociale, comme le respect du statut de la Fonction Publique, l’exigent.

La durée du dispositif doit être fonction du nombre d’agents éligibles (cf. recensement) et du nombre d’emplois qui seront dédiés à cet objectif. La limitation à 3 ans n’a de sens que si les emplois nécessaires à l’intégration de l’ensemble des agents éligibles couvrent le besoin sur cette période.

Toutefois, Solidaires s’oppose à l’introduction d’un tour extérieur pour les administrateurs pour la FPT et la FPH ; cela constitue pour la FPT une menace grave de politisation des A+. Pour Solidaires, tous ces dispositifs doivent être garantis par le relèvement des autorisations d’emplois sous plafond, avec financement correspondant de la masse salariale, à hauteur de l’ensemble des besoins recensés. Pour Solidaires, la question des reçus-collés dans le versant de la fonction publique territoriale doit non seulement susciter « une attention particulière » mais être réglée.

2 - Sur les conditions d’accès au CDI, en cas de non possibilité de titularisation, Solidaires réaffirme que :

- dans l’optique d’une nette priorité donnée à la titularisation, le CDI ne doit être qu’une solution par « défaut », dans le cas où les conditions pour une titularisation immédiate ne seraient pas remplies ( critère de nationalité non rempli, absence de corps d’accueil…) ;

- si actuellement, certains employeurs évitent de prolonger des CDD au delà de 6 ans afin de ne pas avoir à appliquer la loi, l’imminence d’une « obligation à transformer les CDD en CDI » ne fera qu’accroître cette tendance. La prise en compte de l’ancienneté en CDD pour ouvrir droit au CDI, doit être précisée mais en aucun cas cette ancienneté ne doit être égale à 6 années, qui représente pour Solidaires une durée abusivement longue et arbitraire ;

- les notions d’ « employeur » et de « fonctions » doivent être prises au sens le plus large possible ;

- les CDD qui n’occupent pas un poste permanent fixe mais répondent néanmoins à des besoins permanents à une autre échelle (sur plusieurs services voire plusieurs établissements comme les musées), ne doivent pas être victimes de la précarité de l’emploi ou du manque d’organisation des services. Des dispositifs, tels les centres de gestion, doivent leur permettre d’avoir accès à un temps plein puis à la titularisation en tant que titulaire remplaçant dans un premier temps.

Concernant le volet 2 destiné à « Mieux spécifier les cas de recours au contrat dans la fonction publique » et donc à :

1 – Préciser les cas de recours aux agents non titulaires pour pourvoir des emplois permanents.
2 – Clarifier la typologie des cas de recours pour des besoins temporaires et l’harmoniser entre les trois versants de la fonction publique.
3 – Création d’un contrat de projet pour faire face à des situations spécifiques d’emploi.

1 – Pour pouvoir préciser les cas de recours aux agents non titulaires, Solidaires réaffirme que :
- les situations que vous jugiez « objectives » sont le reflet de dérives qui se sont multipliées au fil des ans. Contraires au statut, il ne saurait, pour Solidaires, être question de les conforter en les légalisant ;
- le recrutement actuel de CDD pour des motifs aussi larges que « les besoins des services » pour les A, ne doit pas subsister et encore moins être élargi aux agents B et C. _
Le recrutement en CDD (ou emplois aidés) des personnes pour faire face à des besoins permanents, que ce soit en catégorie A ou en catégorie B et C, doit cesser. A défaut, la spirale infernale du recrutement de précaires se poursuivra, des expédients inadmissibles tendent déjà à masquer les dérives : interruptions de deux mois par an entre deux contrats, rotation de l’employeur officiel pour le même poste, etc. Il est évident, pour Solidaires, que l’arrêt total du recrutement de nouveaux contractuels pour assurer des besoins permanents doit s’appliquer immédiatement.

2 – Pour clarifier la typologie des cas de recours pour des besoins temporaires et l’harmoniser entre les trois versants de la fonction publique, Solidaires réaffirme que :
- la limitation drastique des cas de recours aux non-titulaires pour des besoins temporaires doit être d’application immédiate.

Dans beaucoup de cas de recours à des non titulaires pour assurer les besoins temporaires, il serait sans doute possible, par une meilleure organisation, d’y faire face avec du personnel titulaire. Cela mériterait d’être étudié et discuté au niveau des CT.

- pour les véritables « saisonniers » qui reviennent sur plusieurs années, leur ancienneté doit être cumulée et donner lieu à une évolution de leur rémunération.

Leurs droits doivent être les mêmes que ceux des titulaires en matière de formation, d’action sociale, etc... Dès lors que leur emploi est récurrent, il doit être considéré que le temps de travail effectué équivaut annuellement à un temps incomplet et que ces agents ont obligatoirement vocation à bénéficier immédiatement d’un CDI et à terme, à être titularisés.

Pour les établissements exclus de la titularisation, Solidaires demande que leur situation soit reconsidérée. Des moyens de contrôle de cette limitation des cas de recours aux non-titulaires doivent impérativement être mis en place, ainsi que des sanctions financières en cas d’abus.

3 – Création d’un contrat de projet pour faire face à des situations spécifiques d’emploi.

En ce qui concerne le « contrat de projet » ou contrat à terme incertain, qui apparaît encore dans les dernières propositions gouvernementales, c’est une précarisation à l’extrême qui est proposée. Ce contrat de projet permettra de maintenir des personnels en situation de précarité toute leur vie, sans aucune obligation de les intégrer sur un emploi permanent.

Ce type de contrat a déjà été mis en place à l’INRAP, avec le « contrat d’activité » (CDA) instauré par la loi du 17 février 2009, et il est combattu par les personnels.

Même si, d’après si d’après vous, le CDA « est similaire bien que très différent » de ce qui est proposé ici, nous ne pouvons l’accepter.

Accepter un tel contrat ce serait accepter la « précarité à vie » et l’exclusion du dispositif de « déprécarisation » de tous les CDD aujourd’hui payés sur ressources propres.

Ce n’est pas parce que le financement de certaines activités de service public est, hélas, de plus en plus fragmenté sous forme de projets, que les services n’ont pas besoin de manière pérenne des compétences des personnels ainsi recrutés (et formés !) et que ces personnels n’ont pas le droit de faire eux, des projets de vie ! Solidaires, rejette et refuse ce « contrat de projet » et demande, avec l’intersyndicale des personnels de l’INRAP, l’abrogation du CDA.

Pour Solidaires, ce n’est pas aux syndicats de « convaincre le ministre » de renoncer à ce « contrat de projet », mais bien au gouvernement d’apporter la preuve de ses avantages, pour le service public et pour les personnels ! Et ce, en commençant par présenter un bilan de la mise en place du CDA à l’INRAP.

La double équivalence qui nous a été présentée lors de la réunion du 3 février (besoin permanent = emploi permanent et emploi permanent = financement permanent) est certes ce qui devrait être appliqué si tout fonctionnait normalement. Pour Solidaires, cela doit constituer l’objectif à atteindre. Mais, étant donné que nous ne sommes pas, aujourd’hui, dans cette configuration, il serait scandaleux de sacrifier tous les non titulaires dont le support de l’emploi ne satisfait pas à ce double critère.

Ecarter des dispositifs de titularisation, les agents dont les postes ne relèveraient pas de « financements permanents » pour les orienter vers « le contrat de projet » serait une discrimination inacceptable.

Enfin, vous considérez, ainsi qu’il est écrit dans ce volet 2, que certains emplois demeurent vacants au terme de la procédure de recrutement, pour des motifs liés aux compétences requises, aux conditions d’emploi en zones géographiques difficiles, à l’existence de métiers sous tension ou à l’émergence de nouvelles activités prises en charge par l’administration.

Il vous appartient, Messieurs les ministres, d’y remédier en arrêtant toutes les réformes de structures initiées par la RGPP et la RéATE mais aussi en payant comme il se doit les fonctionnaires exerçant dans les zones difficiles, en créant de nouvelles spécialités dans les corps existants et en créant de nouveaux corps si cela s’avère nécessaire.

Ce sont des options parfaitement envisageables et ne pas les envisager et proposer d’aller vers le recours généralisé au contrat ne peut paraître que comme une volonté de laisser s’étioler les corps des fonctionnaires et de les remplacer petit à petit par des contractuels.

A Solidaires, nous sommes opposés à la constitution d’une fonction publique – bis, au rabais.

En souhaitant que les remarques, oppositions et propositions de Solidaires soient comprises et prises en compte, non seulement pour le bien des agents contractuels mais aussi et plus généralement pour le bien des services publics et des citoyens, je vous prie d’agréer, Messieurs les Ministres, l’expression de ma parfaite considération.

Pour l’Union syndicale Solidaires Fonction Publique
Dorine Pasqualini
Déléguée adjointe Solidaires FP

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 10:26

Promotion dans le cadre d'emplois des rédacteurs territoriaux.. (28/02/2011)

 

 

Les travaux menés au sein du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale (CSFPT) en 2004, ont conduit à réformer les modalités de promotion dans le cadre d'emplois des rédacteurs territoriaux instituée par le décret n° 2004-1548 du 30 décembre 2004. Ce texte ouvre aux fonctionnaires territoriaux de catégorie C, pour une période de cinq ans et par le biais d'un examen professionnel, une nouvelle possibilité de promotion interne vers le cadre d'emplois des rédacteurs.


Cette voie de promotion s'est ajoutée à celle du choix et a permis d'améliorer sensiblement la proportion des promotions, notamment en raison de l'attribution de quotas de recrutement spécifiques. Des assouplissements significatifs des conditions d'inscription en liste d'aptitude et de recrutement au titre de la promotion interne ont en outre été décidés afin d'accroître la proportion de fonctionnaires ayant satisfait aux épreuves de l'examen professionnel sur les listes d'aptitude.

Ainsi, la proportion de recrutement au titre de la promotion interne a été portée à un pour deux recrutements autres (concours, détachement, mutation externe) au lieu de un pour trois pendant une période de cinq ans. Enfin, ce décret a ajusté la « clause de sauvegarde » applicable à l'ensemble des cadres d'emplois de fonctionnaires territoriaux et instituée par l'article 20-5 du décret n° 85-1229 du 20 novembre 1985. Il abaisse à deux ans la période, actuellement fixée à quatre ans, à l'issue de laquelle une promotion interne peut être prononcée lorsqu'un seul recrutement externe a été réalisé.

Cet abaissement a été envisagé pour une durée de quatre ans. Le décret du 28 novembre 2006 a reconduit ce dispositif jusqu'au 1er décembre 2011. Néanmoins, le nombre croissant de candidats répondant aux conditions requises pour se présenter à l'examen professionnel comme le fait que cette sélection annuelle n'ait pas été organisée en fonction du nombre de postes vacants à pourvoir dans chaque collectivité n'ont pas permis d'inscrire sur liste d'aptitude l'ensemble des fonctionnaires ayant satisfait aux épreuves de l'examen. Un groupe de travail constitué au sein du CSFPT dans le cadre de la réforme de la catégorie B et regroupant employeurs territoriaux et représentants des personnels ont examiné ces questions. Conscients des difficultés soulevées par cet examen professionnel exceptionnel, le groupe de travail a acté sa suppression pour l'avenir : à compter de 2012, la promotion interne des adjoints administratifs ne se fera que par la voie du choix. Par ailleurs, le groupe de travail est convenu que l'ensemble des lauréats n'avaient pas vocation à intégrer le cadre d'emplois de rédacteurs territoriaux. Toutefois, il a été prévu que, de façon dérogatoire, ils pourraient garder le bénéfice de cet examen professionnel sans limitation dans le temps.

Si le principe d'une nomination hors quota a été rejeté, notamment par les employeurs territoriaux, des voies provisoires d'assouplissement des quotas sont recherchées. JO AN 22/02/2011 page : 1817

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 10:17

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Sourires Et Émotions

Coup de gueule !

Vous avez remarqué ? Le monde du travail vient de se faire une fois de plus entuber par le MEDEF, non que dis-je par la CFDT (accord qui vient d'être signé, plus de flexibilité, le droit pour le patron de baisser les salaires, d'augmenter le tps de travail...) Ils vont tuer les salariés !
(le 12 janvier 2013)

La GIPA 2013

INFO

SUD Solidaires était présent pour défendre la prime vacances des agents de Saint Pol et Fort-Mardyck mardi dernier, dès 17h15, avant le conseil municipal de Dunkerque.

Un tract denonçant la discrimination des 400 agents a été distribué à tous les élus, ainsi qu'aux dunkerquois venus assister au conseil.

Suivre les liens: Réunion du 27 juin: La déprime pour la prime

 Info SUD destinée au personnel de Fort-Mardyck et Saint-Pol

Action au conseil municipal, Vendredi 17 juin

Résumé de la réunion pour les agents de Saint Pol et Fort Mardyck

Mardi 14 : appel à une grève de 2 heures à St Pol et Fort-Mardyck ?