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  • : Le blog de syndicat-sud-mairie-dunkerque
  • : Solidaire Unitaire Démocratique, SUD est présent dans toutes les administrations mais aussi dans le secteur privé, nous grandissons de jours en jours, nous serons l'alternative, rejoignez-nous ! Plus nous serons nombreux, plus nous serons forts !
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Où ? Quand ? Comment ?

Le bureau de SUD Solidaires

Nouvelle ville de Dunkerque

et des CCAS est ouvert:

Tous les jours, du lundi au vendredi

7 rue Faulconnier (face à la mairie centrale)

tél: 03 28 26 28 97

mail: sudmairie@aol.com

ou en cliquant sur"contact" dans la rubrique "présentation".

A bientôt !

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Les réunions d'info syndicale

La réunion d'information syndicale, c'est un droit ! Usez-en !

C'est un droit pour TOUS les agents ! Syndiqués ou non !

 

Les News

Agenda

CTP :19 Février 2015

 

 

25 mars 2011 5 25 /03 /mars /2011 18:07

 

La réforme constitutionnelle de 2008 pourrait donner moyen de contraindre N. Sarkozy à organiser un référendum sur les retraites : ce référendum doit être demandé par 1/5 des parlementaires, eux-mêmes soutenus par 1/10 des électeurs (nous).
SOIT 4,4 millions de signatures : la mobilisation récente rend l'objectif facile !
Pour vos pa...rents, pour vous, pour vos enfants ... Il suffit de signer ...

 


 
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21 mars 2011 1 21 /03 /mars /2011 14:05

POURQUOI SE SYNDIQUER A SUD SOLIDAIRES MAIRIE DE DUNKERQUE ?

 

Tout d'abord, vous devez savoir que près de 90% des patrons sont syndiqués. (ex: MEDEF)

 

Et pourquoi pensez-vous qu'ils le soient ? Pour défendre leurs intérêts, pour faire valoir leurs droits, pour faire pression sur les pouvoirs publics, pour mettre en commun leurs forces, etc.

 

Qu’est ce qui fait peur aux patrons et aux employeurs ?

Des salariés organisés, solidaires, des salariés prêts à se battre pour défendre et faire appliquer leurs droits, pour améliorer leurs conditions de travail.

 

Rejoindre Sud ne signifie pas être obligé de participer à quoi que ce soit maisc'est déjà agir, s'investir et ne plus être seul.

 

Se syndiquer à Sud, c'est refuser la fatalité, c'est faire partie de ces salariés qui veulent changer le cours des choses.

  

Rejoindre Sud, c'est la possibilité d'apprendre à s'organiser, c'est la possibilié de discuter, de réfléchir collectivement, de rassembler les énergies. Rappelons que Sud est indépendant de tout parti politique.

 

SUD développe son action en fonction des seuls intérêts des agents, quel que soit le pouvoir en place. Pour nous, faire du syndicalisme est un choix non un plan de carrière, ni une profession. A ce titre, nous refusons de bénéficier d'avantages particuliers liés à notre activité syndicale. 

SUD un syndicat indépendant mais pas neutre

La défense des salarié-es ne s'arrête pas une fois franchie la porte du local syndical. C'est pourquoi nous participons aux mobilisations pour défendre non seulement nos acquis mais aussi les chômeur-euses, les sans droits, pour l'égalité des hommes et des femmes, contre le racisme et l'extrême droite ou pour une " autre mondialisation ".Solidaires
C'est aussi pourquoi nous appartenons à l'Union Syndicale Solidaires qui avec ses 90 000 adhérent-e-s regroupe des syndicats de tous secteurs professionnels.

Alors ? Convaincu(e) ?
Vous pouvez nous appeler au 03-28-26-28-97, ou prendre contact par le biais de ce site 'rubrique "contact", ou nous envoyer un mail à sudmairie@aol.com ou nous envoyr un message privé sur le facebook: Sud Solidaires Mairie Dunkerque
 
Ensemble on est plus forts !
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19 mars 2011 6 19 /03 /mars /2011 10:12
Pauvreté
Précarité(s)
Facteurs d’aggravation des inégalités
Jeudi 31 mars 2011
Bourse du travail
rue Charlot, Paris 3e
Avec la participation de
Bernadette Groison secrétaire générale de la FSU
et de Annick Coupé secrétaire générale de Solidaires

Les travaux de cette journée traiteront des questions posées au syndicalisme par l’éclatement du salariat à travers le chômage, les politiques de l’emploi, la précarité (ou les précarités), les inégalités et le développement de la pauvreté.

Deux tables rondes sont retenues.

DÉROULEMENT DE LA JOURNÉE

9 h 30 : Accueil
10 h : 1ère table ronde PRÉCARITÉ
Pierre Concialdi, sociologue
Interventions syndicales et témoignages
Débat/Réponses

12 h 15 REPAS

14 h : 2e table ronde PAUVRETÉ
Un sociologue xxxxxxxx
Interventions syndicales et témoignages
Débat/Réponses

16 h/16 h 30 : Fin du colloque
avec les conclusions d’Annick Coupé pour Solidaires et Bernadette Groison pour la FSU.


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19 mars 2011 6 19 /03 /mars /2011 10:07

La crise du système capitaliste touche tous les pays. Partout, gouvernement et patronat prenne prétexte de cette situation pour exploiter encore plus les travailleurs/ses. Pourtant, ce sont eux qui sont responsables de cette situation, c’est leur système économique et politique qui est en cause ! Face à cela, les résistances s’organisent. Dans de nombreux pays de fortes mobilisations ont eu lieu ces derniers mois ; leur coordination à l’échelon européen est indispensable.

C’est ce que les syndicats européens signataires de cet appel mettent en oeuvre. Voilà pourquoi :

Nous soutenons la manifestation des syndicats britanniques et serons présents à Londres le samedi 26 mars.

En Grèce, 8 journées de grève générale ont eu lieu depuis un an.

Au Portugal, une grève générale historique a eu lieu le 24 novembre.

En France, un mouvement interprofessionnel a touché le pays de mai à novembre avec notamment une grève prolongée en octobre.

En Espagne une grève générale a eu lieu le 29 septembre, d’autres grèves ont eu lieu dans l’Etat espagnol le 27 janvier.

En Italie des grèves générales ont été organisées en 2010 et d’autres se préparent pour le 11 mars et le 15 avril, …

En Allemagne, en Pologne, en Suisse, en Belgique, partout en Europe les mouvements locaux ou sectoriels se multiplient.

La jeunesse n’est pas en reste : en Angleterre, en Italie, en France, elle a manifesté sous ses propres mots d’ordres...

Nous ne voulons pas payer la crise d’un système qui n’est pas le nôtre !

Face à leurs attaques coordonnées …

Alors que la situation actuelle n’est que l’aboutissement logique du système qu’ils entretiennent, patrons et gouvernement essaient de faire croire qu’il faut des mesures exceptionnelles pour un moment exceptionnel.

Mais en réalité, il n’y a rien d’exceptionnel : ils et veulent juste continuer à s’enrichir, au détriment de celles et ceux qui ne vivent que de leur travail !

Les attaques que nous subissons de chaque pays européen ont toutes les mêmes caractéristiques : destruction des services publics, augmentation de la précarité et du chômage, remise en cause du droit à la retraite et à la santé, …

Il s’agit d’appliquer les ordres du Fonds Monétaire International et de la Banque Mondiale, organismes internationaux créés pour défendre les puissant-e-s.

… Organisons-nous ensemble, pour gagner !

Face à cette situation, la solution ne viendra pas de négociations sans rapport de forces. Passer des accords, signer des pactes dans ces conditions, c’est accepter les diktats, c’est tourner le dos aux intérêts des travailleurs/ses. Pour nous, le syndicalisme a comme rôle de défendre les intérêts des travailleurs/ses et de construire une société plus juste : cela passe par un refus des « plans de rigueur », non par leur accompagnement.

Un mouvement de grèves et manifestations est nécessaire à l’échelle européenne. Pour le mouvement syndical, la priorité doit être à construire une telle mobilisation européenne et non pas s’engager dans des négociations avec le patronat pour accepter des accords ou des pactes appliquant les plans de rigueur décidés par la Banque Mondiale et le Fonds Monétaire International. Construisons ensemble ce mouvement syndical européen et cette mobilisation sociale, sans sectarisme !. Notre soutien à cette manifestation des syndicats britanniques est un des jalons dans ce sens.

resistenza@rezisti.org


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19 mars 2011 6 19 /03 /mars /2011 10:02
Déclaration commune SUD SOLIDAIRES- FSU- UNSA- CGT- CFDT

La situation sociale est grave : 5 millions de demandeurs d’emploi, 8 millions de français vivant sous le seuil de pauvreté, accroissement de la précarité, conditions de travail dégradées… L’accroissement des inégalités et des injustices mine la cohésion sociale. L’absence de perspectives, un dialogue social insuffisant, provoquent interrogations et désarroi face à l’avenir.

Dans ce contexte, les organisations syndicales, ne peuvent rester indifférentes à l’utilisation de la situation sociale pour promouvoir certaines thèses dans le débat public comme le fait le Front national. La thèse de la préférence nationale est antinomique avec les valeurs fondamentales du syndicalisme. L’exclusion, le rejet de l’autre, le repli de la France sur elle-même et la fermeture des frontières, la désignation de boucs émissaires, la dénonciation de l’immigration comme responsable de tous les maux sont des attitudes qui, l’histoire en témoigne, ne peuvent conduire qu’au pire.

Les organisations syndicales agissent quotidiennement pour rechercher et exiger des réponses face à cette situation sociale ; en matière d’emploi, de pouvoir d’achat, d’égalité des droits… Leur action est portée par les valeurs qui sont celles du syndicalisme au cœur desquelles figurent la solidarité entre tous les salariés et la lutte contre toutes les formes de discrimination.

Les organisations syndicales SUD SOLIDAIRES- FSU-UNSA-CGT-CFDT sont déterminées à empêcher l’instrumentalisation du syndicalisme par le Front national qui n’est pas un parti comme les autres et dont les orientations sont à l’opposé des valeurs qu’elles portent. Les organisations syndicales sont aussi garantes du respect de ces valeurs au sein de leurs organisations et par leurs militants.

Le 17 mars 2011



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19 mars 2011 6 19 /03 /mars /2011 09:37

 

Publié le mercredi 16 mars 2011

Educateurs spécialisés ou de jeunes enfants, assistantes sociales, conseillères en économie sociale et familiale étaient dans la rue le 16 mars pour protester contre les projets de réforme du gouvernement concernant leur statut. De source syndicale, ils étaient 400 à Bordeaux et 300 à Lille. Des manifestations étaient également organisées à Caen, Rennes, Marseille, Montpellier ou encore Toulouse. A Paris, le cortège qui a rassemblé "entre 1.500 et 2.000 personnes", est passé non loin de la rue d'Anjou, où se réunissait au même moment le Conseil supérieur de la fonction publique territoriale (CSFPT). L'objectif  de ces manifestations est d'obtenir le retrait des projets de textes concernant la filière médicosociale inscrits à l'ordre du jour de la séance. Devant la pression de la rue, la direction générale des collectivités locales (DGCL) a décidé de déprogrammer l'examen des projets de textes et annoncé que "sans changement" sur le fond, ils seraient discutés lors de la prochaine séance du CSFPT prévue le 13 avril, indique Corinne Normand, une responsable de la CGT. Ce report tient à la volonté du gouvernement de calmer le jeu à quelques jours du premier tour des élections cantonales, analyse-t-elle, en rappelant que les départements sont les principaux employeurs d'agents territoriaux médicosociaux. Mais cette mesure ne satisfait pas les syndicats d'autant que la DGCL ne compte pas les rencontrer prochainement, à la différence du collège des employeurs du CSFPT.
Les projets d'évolutions statutaires de la filière médicosociale qui interviennent dans le cadre de la réforme de la catégorie B, ont dès leur présentation au printemps 2010, soulevé l'ire des syndicats. Ceux-ci demandent la reconnaissance en catégorie A de ces personnels. Une revendication qu'ils estiment légitime au regard des trois années d'études qu'ils effectuent en général après le bac. Ils souhaitent également obtenir une revalorisation salariale afin de mieux prendre en compte leur qualification et leur niveau de responsabilité. Censée répondre à cette attente, la réforme proposée va se traduire en fait, selon les syndicats, par une "baisse des salaires", pouvant représenter "jusqu'à 35.000 euros sur la carrière" d'un agent.
Le gouvernement souligne de son côté que les personnels des cadres d'emplois sociaux de catégorie B vont bénéficier d'un déroulement de carrière plus rapide que les autres personnels de catégorie B. Il leur faudrait ainsi à l'avenir 24 ans et 6 mois pour parvenir à l'indice brut 675, contre 29 ans au minimum pour les autres filières. Par ailleurs, les conseillers territoriaux socio-éducatifs (cadres de la catégorie A) verraient leur rémunération de fin de carrière améliorée, puisque leur indice brut terminal passerait de 660 à 780.
L'enjeu de la journée du 16 mars allait au-delà de la territoriale. "Si les textes sont adoptés en l'état pour les collectivités, ils s'appliqueront sur les mêmes bases à la fonction publique hospitalière, autre grand employeur de personnels médicosociaux", souligne-t-on au CSFPT.



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18 mars 2011 5 18 /03 /mars /2011 20:36

Les collectivités locales doivent faire reculer la précarité chez leurs salariés contractuels, en limitant le recrutement à temps non complet et les emplois aidés, a préconisé le Conseil supérieur de la Fonction Publique Territoriale (CSFPT), dans un rapport adopté le 16 mars et que la Gazette publie. Le CSFPT formule 16 propositions pour agir.

Près de 220.000 contractuels occupent des emplois permanents dans les collectivités, selon Mohamed Amine, directeur de l’observatoire du Conseil national de la fonction publique territoriale (CNFPT), alors que le statut de la fonction publique oblige, sauf exceptions, à recourir à des fonctionnaires.
Et « des trois fonctions publiques c’est la FPT, avec ses 78% des agents en catégorie C, qui emploie le plus fort taux de non titulaires (un agent sur quatre), qui offre les plus faibles rémunérations et par conséquent les plus faibles retraites. En 2008 le montant moyen des pensions versées par la CNRACL s’élève à 1 191 euros », recadre le Conseil supérieur de la fonction publique territoriale dans un communiqué relayant son rapport.

Ce rapport a été adopté à l’unanimité le 16 mars. Ses 16 préconisations « ne sont qu’un point de départ » pour une réflexion plus développée, a déclaré, l’un des deux rapporteurs, Françoise Descamps-Crosnier, vice-présidente de Association des maires de France et maire de Rosny-sur-Seine (Yvelines).

Plongée dans la précarité de la FPT

Le rapport sur la précarité dans la fonction publique pointe trois types de précarité : la précarité de l’emploi, la précarité des droits et la précarité financière et il insiste sur leur interdépendance.

Certains points soulevés lors de la réforme des retraites ou à propos du projet de décret sur la protection sociale complémentaire et du futur projet de loi sur les contractuels ont nourri les débats et les préconisations du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale.

Précarité : la définition d’ATD Quart Monde – Pour délimiter la précarité, le groupe de travail transversal aux différentes formations spécialisées du CSFPT a retenu la définition du fondateur d’ATD Quart-Monde, le père Joseph Wresinski :

La précarité est l’absence d’une ou plusieurs des sécurités, notamment celle de l’emploi, permettant aux personnes et aux familles d’assumer leurs obligations professionnelles, familiales et sociales et de jouir de leurs droits fondamentaux. L’insécurité qui en résulte peut être plus ou moins étendue et avoir des conséquences plus ou moins graves et définitives. Elle conduit à la grande pauvreté, quand elle affecte plusieurs domaines de l’existence, qu’elle devient persistante, qu’elle compromet les chances de réassumer ses responsabilités et de reconquérir ses droits par soi-même, dans un avenir prévisible.

Précarité : les non titulaires sur représentés - Avec un agent sur 5 sur emploi contractuel, le rapport étudie, dans sa première partie, la situation des non titulaires. Parmi eux, les femmes sont surreprésentées (68 % des non titulaires), les temps non-complets fréquents (37 % des non titulaires) et les emplois aidés nombreux, même s’ils diminuent (14 % des effectifs des communes de moins de 1000 habitants).
Les collectivités franciliennes sont particulièrement concernées : 55 % des recrutements étaient contractuels en Ile-de-France en 2007, pour 34 % en moyenne au niveau national.

Les catégories A sont surreprésentées parmi les non-titulaires dans les grandes collectivités ; les catégories C constituent une part importante (100 000) de ces non-titulaires alors même que certains grades peuvent être recrutés en direct, puis titularisés, sans concours.

Précarité de l’emploi : les titulaires aussi – Cette étude élargit la notion de précarité à certains agents titulaires qui connaissent, comme le soulignent les auteurs du rapport, « une précarité grandissante » : agents à temps non complet (13 % des agents titulaires, soit 165 000 agents), sur représentés, là encore, parmi les agents de catégorie C et parmi les femmes.
A travers divers exemples, le rapport esquisse des pistes de solutions, expérimentées par des collectivités, pour convertir des temps non complets en temps complets, mutualiser les temps de travail pour lutter contre la parcellisation des emplois, favoriser l’égalité femmes-hommes.

Précarité financière : les rémunérations malmenées – Sur la précarité financière – avec des rémunérations territoriales inférieures de 300 euros en moyenne à celles des salariés du privé et de 500 euros par rapport à celles des fonctionnaires de l’Etat – des témoignages illustrent l’instabilité qui touche les agents non titulaires.

Les bas salaires des Dom-Com sont décrits à partir de l’exemple de la Réunion. « La précarité financière peut toucher la plupart des agents de catégorie C dès qu’ils ont le moindre problème familial ou de santé », explique ainsi la DRH d’une grande commune qui dénombre 600 agents en situation de précarité sur un effectif de 2500 titulaires et 250 non titulaires.
Le coût du logement constitue, selon les régions, un facteur de vulnérabilité. La situation de parent isolé aussi. Cette précarité financière se traduit par une montée du sur-endettement et des demandes d’aides financières en hausse.

Précarité des droits : souvent un manque d’information – Etudiée en troisième partie du rapport du CSFPT, la précarité des droits se traduit au moment de la retraite, mais aussi dans l’accès aux soins et, pour les non titulaires, à l’assurance chômage, à la formation professionnelle et aux reclassements.
Des initiatives préventives sont proposées. Dans ce domaine, c’est l’accès à l’information qui s’avère insuffisant. La nécessité de relais et la création d’un « médiateur social » sont cités parmi des pistes possibles pour favoriser l’accès aux droits des personnels les plus fragiles.

Le rapport, extrêmement fouillé, a été achevé en huit mois, avec pour objectif d’être disponible avant la signature de l’accord sur la réduction de la précarité dans la fonction publique, prévue par le gouvernement pour le 31 mars, a précisé Mme Descamps-Crosnier.

Principales préconisations du CSFPT

  • Les collectivités locales doivent faire reculer la précarité chez leurs salariés contractuels, en limitant le recrutement à temps non complet et les emplois aidés.
  • Le rapport conseille d’ »inciter les employeurs à la vigilance » en « évitant le recrutement d’emplois aidés lorsque il n’est pas prévu de mesures d’accompagnement et de propositions à la suite du contrat ».
  • Le CSFPT incite aussi les collectivités à éviter « la création d’emplois à temps non complet » et les met en garde contre la « non-prise en compte des besoins permanents de remplacement ». Pour faire face à ces besoins, il conseille d’instituer des « dispositifs de mutualisation de l’emploi territorial », dont les « pivots » seraient les centres de gestion, en particulier dans les petites collectivités.
  • Le texte préconise aussi « la mise en place d’un dispositif pérenne de titularisation des agents non-titulaires qui occupent des emplois permanents ou qui ont été recrutés pour des besoins temporaires, dès lors qu’ils exercent leurs fonctions de manière durable ».
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18 mars 2011 5 18 /03 /mars /2011 18:37

SUD Energie tient à affirmer notre solidarité pleine et entière à la population japonaise et notamment aux salariés des centrales accidentées dont nous craignons qu’ils payent un lourd tribut à cette catastrophe.

 

Transparence nucléaire : une fois de plus, le compte n’y est pas :

· Du combustible nucléaire est entré en fusion, puisque du césium a été retrouvé à proximité de la centrale de Fukushima.

· Les vidéos de l’explosion de Fukushima 1 ne laissent pas de doute sur l’existence de rejets conséquents de produits radioactifs.

Pourtant, l’autorité de sureté japonaise continue d’affirmer que cet accident est moins grave que celui de Three Mile Island où il y avait des rejets radioactifs très limités.

Et en France, Éric Besson, ministre de l’Industrie, affirme qu’il n’y a pas de catastrophe majeure. Sans doute cherche-t-il à rivaliser avec Michèle Alliot-Marie ou Éric Woerth en matière de communication. Peut-être pense-t-il que la gestion de la catastrophe de Tchernobyl a été un exemple de transparence.

Il s’agit pourtant bien là d’une catastrophe à l’échelle mondiale.

Sud Énergie exige que la vérité soit dite sur la réalité de cet accident et que toutes les leçons en soient tirées.

Sud Énergie demande la constitution d’une commission d’expertise indépendante des intérêts financiers du nucléaire, à laquelle nous sommes prêts à participer.

Ce nouvel accident majeur démontre que le risque zéro n’existe pas en matière nucléaire. Au-delà des débats sur les choix énergétiques, la sécurité doit être la première des priorités dans tous les choix relatifs au nucléaire. Or l’évolution de ces dernières années en France, liée à la libéralisation du secteur de l’Énergie qui privilégie la rentabilité, conduit à une dégradation importante de la sûreté dans le nucléaire.

C’est pourquoi SUD Energie ne cesse de revendiquer :

· La sortie d’EDF du secteur marchand, et la mise en place d’un service public respectueux de l’environnement au service des usagers et non des actionnaires.

· Pour l’ensemble des travailleurs du nucléaire, des conditions de travail garantissant un climat de sérénité et de confiance nécessaires à la sûreté : garantie de l’emploi, sécurité du travail, respect du temps de travail, droit à la parole et à la critique … ; cela passe notamment, en France, par la remise en cause des méthodes de management actuelles, ainsi que par la remise en question de la politique de sous-traitance à tout va;

· La garantie de structures indépendantes de contrôle

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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 19:03

Aujourd'hui nous avons rencontré les agents de Mardyck, avec lesquels nous avons eu des échanges intéressants. Merci à eux ! Nous avons aussi beaucoup apprécié la remarque d'un agent de Dunkerque centre qui nous a dit, à propos des dernières grèves : "ce que les gens ont voté, Sud l'a fait". Oui, Sud est un syndicat Solidaire, Unitaire et Démocratique. Et pour nous, ces mots ne sont pas vains ! Nous ne sommes pas là pour "endormir" le personnel, mais pour l'écouter dans ses revendications, le soutenir dans ses luttes qui sont aussi les notres, et agir ...

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14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 20:12

Utopistes
Utopistes
par syndicat-sud-mairie-dunkerque

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Sourires Et Émotions

Coup de gueule !

Vous avez remarqué ? Le monde du travail vient de se faire une fois de plus entuber par le MEDEF, non que dis-je par la CFDT (accord qui vient d'être signé, plus de flexibilité, le droit pour le patron de baisser les salaires, d'augmenter le tps de travail...) Ils vont tuer les salariés !
(le 12 janvier 2013)

La GIPA 2013

INFO

SUD Solidaires était présent pour défendre la prime vacances des agents de Saint Pol et Fort-Mardyck mardi dernier, dès 17h15, avant le conseil municipal de Dunkerque.

Un tract denonçant la discrimination des 400 agents a été distribué à tous les élus, ainsi qu'aux dunkerquois venus assister au conseil.

Suivre les liens: Réunion du 27 juin: La déprime pour la prime

 Info SUD destinée au personnel de Fort-Mardyck et Saint-Pol

Action au conseil municipal, Vendredi 17 juin

Résumé de la réunion pour les agents de Saint Pol et Fort Mardyck

Mardi 14 : appel à une grève de 2 heures à St Pol et Fort-Mardyck ?